Relevage et immobilisation d’une victime

L’immobilisation de la colonne vertébrale d’une victime se fait le plus souvent en position allongée.

Toutefois l’immobilisation doit respecter une déformation ou une position d’attente adaptée à une détresse.

Choix du moyen

- stabilisation du rachis.

La stabilisation du rachis est réalisée :

- en demandant à la victime de ne pas bouger si elle est consciente et coopérante

- en maintenant la tête de la victime à deux mains pour garder le rachis cervical dans l’axe si la victime est calme.

- restriction des mouvements du rachis

La restriction des mouvements du rachis cervical est réalisée :

- à l’aide de blocs de tête placés de part et d’autre de la tête et maintenus par des sangles.

- à l’aide d’un matelas immobilisateur à dépression (MID).

- à l’aide d’un collier cervical rigide.

L’usage systématique du collier cervical chez l’adulte comme chez l’enfant n’est plus conseillé.

Le collier cervical peut encore être utilisé pour restreindre les mouvements du rachis cervical lors de l’extraction ou du relevage d’une victime si la stabilisation de la tête par un sauveteur s’annonce difficile ou aléatoire.

Le collier cervical ne doit pas être utilisé s’il existe une contre-indication comme :

- une possible obstruction des voies aériennes,

- une déformation préexistante du rachis cervical (dans ce cas, maintenir la tête dans la position où elle se trouve)

Le collier cervical doit être :

- adapté à la taille de la victime ;

- positionné correctement ;

- desserré une fois l’immobilisation sur le MID réalisée.

- resserré pour une nouvelle mobilisation (transfert sur un brancard) Après mise en place du collier, réévaluer la liberté des voies aériennes.

- immobilisation de la colonne vertébrale

L’immobilisation corps entier d’une victime qui présente un traumatisme du rachis est réalisé

- en priorité dans un matelas immobilisateur à dépression qui doit rester en place pour le transfert sur le brancard à l’hôpital.

Les blocs de tête peuvent être utilisés pour restreindre les mouvements du rachis cervical à l’intérieur du matelas.

Une fois immobilisée, si la victime porte un collier cervical rigide, il faut le desserrer. Le MID permet aussi d’immobiliser les victimes dans la position adaptée à leur détresse (demi-assise pour une détresse respiratoire).

- exceptionnellement sur un plan dur équipé de blocs de tête :

- en cas d’indisponibilité d’un MID ;

- si le nombre de secouristes n’est pas suffisant pour transférer la victime du plan dur sur le MID ;

- en l’absence de contre-indications comme :

- une déformation préexistante de la colonne vertébrale - ou s’il faut immobiliser la victime dans une autre position (détresse respiratoire).

Choix de la technique de relevage

- relevage d’une victime allongée sur le sol

Pour relever une victime allongée au sol, il est préférable d’utiliser un brancard cuillère plutôt qu’un plan dur. Une fois installés sur le brancard cuillère, les blocs de tête peuvent être utilisés pour restreindre les mouvements du rachis cervical.

Ils permettent ainsi de libérer le secouriste chargé du maintien de la tête lors du transfert de la victime dans un moyen d’immobilisation.

En l’absence de brancard cuillère, relever la victime en utilisant une technique de relevage en pont à plusieurs secouristes.

Si aucune des deux techniques précédentes n’est possible, mettre en place un collier cervical et installer la victime sur un plan dur par roulement au sol avant de la transférer dans un moyen d’immobilisation.

- victime située dans un endroit difficile d’accès (endroit exigu, véhicule accidenté…)

Si la victime nécessite une immobilisation corps entier, réaliser une technique d’extraction en utilisant les moyens dédiés comme le plan dur ou l’attelle cervico-thoracique.

Si la stabilisation de la tête par un sauveteur est difficile lors de la manoeuvre d’extraction, il est nécessaire de restreindre les mouvements du rachis avec un collier cervical rigide puis l’attelle cervico-thoracique.

En l’absence d’indication d’immobilisation corps entier, rechercher la coopération de la victime et lui demander de se dégager elle-même, puis, si elle le peut de s’allonger sur le brancard.

Interrompre tout mouvement si la victime présente une aggravation de la douleur ou des signes d’atteinte de la moelle

Immobilisation d’un membre inférieur au moyen d’une attelle à traction Indication

Les attelles en traction sont utilisées pour assurer l’immobilisation des traumatismes de la cuisse et des 2/3 supérieurs de la jambe.

Elles ne peuvent être installées que sur un membre réaligné.

Elles ne peuvent pas être utilisées si :

- Les deux membres inférieurs sont atteints (Préférer alors le MID) ;

- Il existe un traumatisme de la cheville ou du pied ;

- Il existe un traumatisme du bassin ou de la partie inférieure du dos.

L’attelle en traction ne peut être mise en place qu’à la demande et en présence d’un médecin. Justification

L’immobilisation est obtenue en exerçant une traction sur le membre traumatisé.

Cette immobilisation limite les mouvements du membre traumatisé, diminue la douleur et prévient la survenue de complications.

Matériel

- Attelle en traction manuelle

Réalisation

Réalisée sous le contrôle d’un médecin, sa mise en place nécessite au moins trois secouristes, formés et entrainés à son utilisation :

- Préparer l’attelle en traction

- Prendre la mesure côté opposé à la fracture

- Enlever la chaussure de la victime

Le secouriste 3 doit :

- Réaliser le maintien du bassin

Le secouriste 1 doit :

- Maintenir le membre blessé, dans l’axe par une traction progressive et prudente au niveau de la cheville, le pied bien tendu ;

- Soulever le membre blessé de quelques centimètres pour la mise en place du matériel ;

Le secouriste 2 doit :

- Positionner l’attelle en traction jusqu’au sommet de la cuisse ;

- Reposer le membre sur l’attelle ;

- Ajuster la sangle supérieure ;

- Ajuster la sangle de la cheville ;

- Effectuer la traction à l’aide de la molette (Fait généralement par le médecin)

- Ajuster toutes les sangles ;

Le secouriste 1 peut :

- Lâcher le maintient de la traction

Le secouriste 1 et 2 doit

- Relever le trépied ;

Demander au médecin de vérifier la bonne installation de l’attelle.

Risques et contraintes

La réalisation d’une immobilisation à l’aide d’une attelle en traction peut provoquer une mobilisation excessive du foyer de la fracture si la procédure de mise en place n’est pas respectée et entraîner douleur et complications. Evaluation L’immobilisation est correcte si :

- Le segment et les articulations sus et sous jacentes sont immobilisés par l’attelle ;

- L’attelle est correctement fixée ;

- La douleur ressentie par la victime diminue ;

- Aucun signe de compression n’apparaît après sa mise en place (Circulation d’aval correcte) ;

- Il n’y a pas de douleur testiculaire, chez l’homme.

Immobilisation générale sur un matelas à dépression

Immobilisation générale sur un matelas à dépression

Indication

Le matelas immobilisateur à dépression (MID) est utilisé pour immobiliser la colonne vertébrale, du bassin ou de la cuisse.

Ce moyen est particulièrement indiqué si la victime présente de multiples lésions.

Le MID permet aussi d’immobiliser les victimes dans la position adaptée à leur détresse (demi-assise pour une détresse respiratoire).

Justification

En immobilisant le corps entier d’une victime, le MID permet de respecter son axe tête-cou tronc et limite toute apparition ou aggravation d’une éventuelle lésion de la colonne vertébrale au cours de la mobilisation ou du transport d’une victime.

Il permet en outre d’immobiliser les membres inférieurs.

Matériel

Le matelas immobilisateur à dépression est constitué :

- D’une enveloppe souple, résistante et étanche contenant des billes de polystyrène expansé ;

- D’un robinet permettant de régler la sortie ou l’entrée d’air ;

- D’un dispositif de saisie (Poignées) ;

- Des sangles de maintien.

Il ne peut être utilisé qu’avec une pompe d’aspiration manuelle.

Son principe de fonctionnement consiste, une fois la victime installée sur le matelas, à aspirer l’air contenu dans l’enveloppe étanche.

Cette aspiration provoque une solidarisation des petites billes qui rigidifie le matelas en moulant la victime, ce qui provoque son immobilisation.

Réalisation

L’installation d’une victime sur le MID est effectuée en utilisant :

- Un brancard cuillère ;

- Une technique de relevage dite du pont à quatre équipiers porteurs ;

- Exceptionnellement un plan dur

Préalablement à l’installation de la victime, il faut :

- Placer le MID à proximité de la victime, dans une position adaptée à la technique de relevage utilisée ;

Dans la mesure du possible, la surface doit être plane et dure.

- Ouvrir le robinet pour permettre l’entrée de l’air et répartir les billes qui se désolidarisent ;

- Rigidifier modérément le MID en relevant les côtés pour faciliter la manœuvre de relevage ;

- Mettre en place un drap.

Une fois la victime déposée sur le MID à l’aide d’une technique adaptée :

- Retirer systématiquement un dispositif de portage éventuel ;

- Mettre en forme le matelas autour du corps de la victime.

Pour cela :

- Rapprocher les bords du matelas de part et d’autre de la tête de la victime ;

Cela permet au secouriste de dégager ses mains puis de les replacer à l’extérieur du matelas et poursuivre le maintien de la tête jusqu’à la rigidification de ce dernier.

Les blocs de tête peuvent être utilisés pour restreindre les mouvements du rachis cervical à l’intérieur du matelas.

Le matelas ne doit en aucun cas appuyer sur le sommet du crâne car l’aspiration de l’air entrainerait par rétraction d’une flexion de la tête.

- Maintenir les bords latéraux du matelas le long de la victime sans la mobiliser, en s’aidant des sangles de maintien ;

- Faire le vide à l’intérieur du matelas en aspirant l’air avec un dispositif d’aspiration jusqu’à ce que le matelas devienne dur ;

- Fermer le robinet et déconnecter le dispositif d’aspiration ;

- Ajuster les sangles de maintien

Une fois la victime immobilisée, si elle porte un collier cervical rigide, le relâcher.

A l'hôpital, la victime doit être placée sur le brancard de l'hôpital conditionné avec son matériel d'immobilisation.

Le retrait du matériel d'immobilisation est sous la responsabilité de l'hôpital et idéalement le transfert d'une victime suspecte d'un traumatisme du rachis entre deux dispositifs se fait à l'aide d'un brancard cuillère

Risques et contraintes :

La rigidité du matelas doit être surveillée en permanence.

Toute diminution de celle-ci nuit à la qualité de l’immobilisation générale de la victime.

Le transport de la victime doit se faire en déposant l’ensemble victime-matelas sur un brancard ou un plan dur et après l’avoir arrimé.

Le MID peut être utilisé seul, une fois rigidifié, pour porter sur quelques mètres seulement une victime.

Il faut alors bien le soutenir sur les côtés pour qu’il ne se plie pas en son milieu.

Un épanchement de sang de la victime (Hémorragie extériorisée, reprise de saignement d’une hémorragie externe…) peut facilement être masqué par ce type d’immobilisation.

Evaluation

L’immobilisation sur un matelas immobilisateur à dépression est correcte si :

- Aucun mouvement de la victime n’est possible ;

- La victime ne peut ni glisser vers le haut, ni vers le bas ou sur le côté ;

- Les sangles ne gênent pas la respiration de la victime ;

- Le matelas n’est pas au contact avec le haut du crâne

Les relevages

Le relevage est une action qui consiste à placer une victime sur un brancard, directement ou à l’aide d’un dispositif particulier de relevage afin d’assurer son déplacement.

Cette action est réalisée après avoir soustrait la victime à la cause de sa détresse et l’avoir installée dans la position que nécessite son état.

L’application des techniques de relevage et de brancardage comporte des risques, notamment pour la victime, mais aussi pour le secouriste.

Un bon entraînement et le respect des techniques évitent ou minimisent ces risques.

Principes généraux de manutention

Les manœuvres de relevage doivent être pratiquées de manière coordonnée sous la responsabilité d’un chef et exigent la stabilité des secouristes et la sécurité de leurs mouvements.

A cet effet, il convient de respecter les principes suivants :

- Stabilité des positions et sécurité des mouvements ;

Le secouriste debout doit avoir les pieds écartés, décalés, non parallèles.

A genoux, il se place en position du « trépied », un genou à terre, l'autre écarté en dehors des avant-bras.

Penché en avant, il garde le dos plat et travaille avec les muscles des membres inférieurs, s'éloignant le moins possible de la position verticale.

Il vaut mieux s'accroupir que se pencher.

Ces principes évitent les « faux mouvements » à l’origine de douleurs dorso-lombaires.

Fermeté des prises ;

La charge est saisie à pleines mains et non du bout des doigts ;

elle porte sur les avant-bras et non sur les mains.

- Bonne répartition des charges ;

Les secouristes doivent être plusieurs (3 à 6) selon les cas ;

la charge doit être rapprochée au maximum des porteurs.

- Synchronisation des mouvements.

En équipe les mouvements doivent être doux et synchronisés, sous les ordres d’un chef

Règles générales de relevage

Le choix du matériel et de la méthode relève du chef d’équipe.

Dans certaines circonstances, il peut demander un avis médical.

Ce choix repose sur les éléments d’appréciation suivants :

- Accessibilité de la victime ;

- État de la victime et nature des lésions suspectées ;

- Le poids de la victime et le nombre de secouristes ;

- Le matériel disponible ;

La position d’attente de la victime.

Brancardage

Règles générales de brancardage

Le brancardage est une épreuve inconfortable pour la victime.

Enfin d’en minimiser les effets, il convient de respecter les règles et les principes suivants :

Sangler la victime ;

- Positionner les secouristes, en fonction de leur taille et de leur force ;

- Veiller à maintenir le brancard en position horizontale ;

- Placer la tête de la victime vers l’avant (Sauf escaliers).

Le chef se place préférentiellement à l’arrière afin de pouvoir surveiller la victime comme les secouristes.

Il doit :

- Coordonner la manœuvre de brancardage ;

- Se placer à l’arrière commander l’équipe de secouriste dans chacune des actions à conduire ;

source SDIS 70 sapeurs pompiers haute saône

Historique profession aide soignant 60 Exercices ludiques et interactifs Méthodologie du raisonnement clinique Le raisonnement clinique Les outils du receuil de données Manifestations d'indépendances/dépendances (1) Manifestation d'indépendance/dépendance (2) 3 Démarches cliniques pour vous évaluer Cas clinique 4 pour s'auto-évaluer Cas clinique 5 pour s'auto-évaluer Cas clinique 6 pour s'auto-évaluer Cas clinique 7 pour s'auto-évaluer Cas clinique 8 pour s'auto-évaluer Cas clinique 9 pour s'auto évaluer Cas clinique 10 pour s'auto évaluer Cas clinique 11 pour s'auto évaluer Cas clinique 12 pour s'auto évaluer Cas clinique 13 pour s'auto évaluer Cas clinique 14 pour s'auto évaluer Cas clinique 15 pour s'auto évaluer Régime et équilibre alimentaire Les principaux régimes alimentaires Alimentation personne âgée Cas clinique l'alimentation de la personne âgée AGGIR-GIR-APA Révision générale module 1 QROC (50 questions) Complications liées à l'immobilité Handicap 4 techniques de lavage des mains Grille GIR et APA Le système de santé 14 Besoins de Virginia Henderson Fiche vierge 14 besoins Virginia Henderson Maternité : conception grossesse Accouchement, suite de couches Le développement Psychosocial La famille et l'entourage Place de l'aidant La dynamique de groupe et la gestion des conflits Handicap et politique du handicap Les soins de nursing par l'aide soignante ECORSET du soins Les pathologies du vieillissement Conception de la santé et du soin Les temps clés au quotidien Accompagner une personne au quotidien L'autonomie d'une personne Les rites mortuaires selon les religions Le rôle de L'AS dans la socialisation Role AS dans l'accessibilité Objectif et mise en œuvre d'une activité Concept d'autonomie et de dépendance Les cycles de la vie Humaine Les outils de soins la grossesse schéma à compléter Le nouveau né exercice La suite de couche Les troubles du cycle Les droits du patient Aide à l’élimination La grille A.G.G.I.R Les concepts du soins L'intimité dans le soins à la personne Différence entre maladies somatiques et psychiques Concepts de base de la profession Concepts d’autonomie et de dépendance Les infections nosocomiales Etude du besoin de dormir et de se reposer Situation professionnelle AS toilette au lit Situation professionnelle AS aide à la douche Situation professionnelle AS aide au repas Situation professionnelle AS aide à la douche Les précautions standard 
Vocabulaire médicale 66 Exercices ludiques et interactifs Cas clinique l'alimentation de la personne âgée Cas clinique en service de médecine Cas clinique en service de chirurgie Vocabulaire médical Cardiologie Révision générale module 3 Anatomie/Physiologie du corps humain Les pathologies du vieillissement Comment prendre la glycémie capillaire par l'AS Comment prendre la saturation en oxygène par l'AS Mesure du périmètre crânien par l'AS L'échelle de Braden IMC Calcul de l'indice de masse corporel par l'AS Etat cutané signes d'alerte Prise en charge de la douleur par l'AS Système endocrinien cours et qcm Système endocrinien cours et qcm Système neurologique cours et exercices Système urinaire cours et exercices Système respiratoire cours et exercices Système cardio-vasculaire cours et exercices Système digestif cours et exercices Système des sens l’œil, L’oreille, fosses nasales Système reproducteur féminin Système reproducteur masculin Pathologies chroniques cours et exercice Pathologies aiguës cours et exercices d'évaluation Pathologies psychiatriques Pathologies chirurgicales cours Pathologies infectieuses cours Tissu musculaire Vieillissement physiologique Maladie somatique et maladie psychique Comment prendre la tension artérielle Mesure de la diurèse 9 Quadrants Abdominaux cours et exercice QCM vérification des connaissances M3 QCM vérification des connaissances M3 L'observation des manifestations de l'état de conscience Indice de masse corporelle (IMC) Comment prendre le pouls Évaluez-vous Système nerveux Évaluez-vous système respiratoire Évaluez-vous système urinaire Évaluez-vous système endocrinien Évaluez-vous système digestif Évaluez-vous système digestif Fausse route manœuvre Heimlich Quels sont les paramètres vitaux chez l'enfant ? Paramètres vitaux chez la personne âgée Situation professionnelle AS hypotension artérielle Situation professionnelle AS Détresse respiratoire Situation professionnelle AS Prise de température Situation professionnelle AS Surveillance respiratoire Situation professionnelle AS Hypertension Artérielle Situation professionnelle AS Surveillance état de conscience Situation professionnelle AS Surveillance poids Absence de selles Situation professionnelle AS Suspicion d'infection urinaire Situation professionnelle AS Prise en charge d'une chute Situation professionnelle AS Hyperthermie Rôle AS pathologies respiratoires Rôle AS pathologies cardiovasculaires Rôle AS pathologies digestives Rôle AS pathologies urinaires Rôle AS les situations d'urgence Rôle AS le diabète Évaluation de l'état de santé Rôle AS le recueil de selles (coproculture) Évaluation de la taille et du poids Guide de révisions des maladies
40 exercices pour s'évaluer au module 4 42 Exercices ludiques et interactifs Notions de pharmacologie cours et exercices d'évaluation Notion des parcours de soins Méthodologie de réalisation d'un soin Lavage oculaire et instillation de collyre Pose de suppositoire (d'aide à l'élimination) Observation des patients sous dialyse  L'évaluation de la douleur par l'AS L'examen de bandelette urinaire par l'AS Notion sur l'oxygénothérapie Oxygénothérapie : montage, entretien du matériel, surveillance Observation patient sous assistance respiratoire par AS Montage, entretien du matériel, réalisation d'aspiration endotrachéale Surveillance d'une personne sous moniteur Premier lever par l'AS Surveillance et renouvellement d'une vessie de glace par l'AS Soins et surveillance d'une sonde vésicale par l'AS Surveillance d'un patient porteur d'un plâtre Soins et surveillance d'un patient dans le coma Soins post-mortem : toilette, habillage, identification. Observation et surveillance du patient sous perfusion Rôle AS chirurgie préparation et retour de bloc Prévention des escarres, Rôle de l'AS L'analyse d'urine Rôle aide soignante Rôle aide soignante l'alimentation par sonde Rôle aide soignante Soins palliatifs Rôle AS en pneumologie Le prélèvement de selles rôle AS Rôle aide soignante Aide aux pansements Rôle AS en orthopédie traumatologie l'AS et la surveillance de l'opéré Le rôle de l’AS et le lavement évacuateur Le rôle de l’AS et le lavage gastrique Rôle AS pose de l’étui pénien Rôle AS prise en soin des personnes atteintes de cancer Rôle AS vidange sac collecteur d'urine Rôle AS mise en route d'une diurèse Rôle AS surveillance du drain de redon Rôle AS en psychiatrie Situation professionnelle AS pose étui pénien Situation professionnelle AS soins des yeux Situation professionnelle AS soins post mortem Situation professionnel AS PEC Douleur Situation professionnelle AS Surveillance post opératoire Soins au patient porteur de colostomie/iléostomie  Prévention des points de pression/ escarres Règle ECORSET Étude de situation patient post opératoire Soins pré et post opératoire Soins de bouches non médicamenteux rôle de l'AS Comment mettre les bas de contention Cas clinique module N°1 Cas clinique module N°2 Cas clinique module N°3 Cas clinique module N°4 TD Pharmacologie Rôle AS Pharmacologie Rôle AS ouverture matériel stérile Examen blanc Pharmacologie
AFGSU 10
Je fais un essai ACHETER le PROGRAMME et COMMENCER à RÉVISER Menu modules 1 à 10 Organisation de la formation aide soignant ARP Analyse réflexive de pratique 50 schémas à légender 7 exemples Études de situation Bloc 2 modules 3 et 4
  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire

Anti-spam